C'est un vrai plaisir que de personnaliser sa ziggourat en l'honneur des dieux, et sa cité antique. Nebuchadnezzar est peut-être à l'heure actuelle le seul jeu permettant de se replonger dans le néolithique mésopotamien, mais il restera très certainement le meilleur pour longtemps.
Partisans 1941 n'est pas la surprise de l'année : il vous occupera une bonne vingtaine d'heures si vous prenez votre temps pour chaque mission. Mais son gameplay et l'originalité du sujet traité en font un jeu très intéressant, dans lequel il est très simple de s'immerger de longues heures.
Age of Empires III : DE n'a pas à rougir : le lifting graphique est absolument magnifique, et son thème est exploité en profondeur, dans le fond autant que dans la forme, ce qui n'allait pas forcément de soi et qu'on doit saluer.
La douche froide initialement perçue au moment du lancement du jeu a vite laissé place à un intérêt tout particulier pour ce titre qui se révèle d'une infinie richesse pour le joueur assidu.
Desperados III est donc bien la réussite que tout le monde attendait : prenant, exigeant et nantis d'une sacré durée de vie. Rien ne vous empêche de vous jeter sur ce titre si vous êtes amateur du genre.
A Total War Saga : Troy aurait pu dépeindre une guerre de Troie plus prenante, qu'elle soit mythique ou historique. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir fait des efforts.
Northgard coche toutes les cases de l'excellent jeu : une direction artistique très soignée, des parties nerveuses, des clans variés et tous aussi intéressants à jouer, un véritable défi militaire aussi bien qu'économique... et pléthores de rebondissements.
À vouloir être excellent partout, on est bon nulle part et c'est le problème qui caractérise Imperiums : Greek Wars. Qu'il soit moche comme un pou, traduit à la truelle rouillée et plus globalement recyclé jusqu'à l'os du précédent serait oubliable s'il était tout simplement plus clair.
En dépit des excellents ajouts qu'il offre à Europa Universalis IV, Emperor n'est pas le DLC parfait dont nous rêvions il y a quelques mois en lisant les premiers journaux de développement.
On aurait aimé que cette histoire soit mieux écrite, que ses affrontements soient plus variées. On aurait aimé beaucoup de choses en sommes. Mais Broken Lines n'est pas mauvais pour autant, on sent la passion des développeurs.
Radio Commander est indubitablement un jeu qui ne plaira à tout le monde. Le petit côté wargame couplé à la relative cécité du commandant donne un jeu compliqué, qui risque de ne pas convenir aux habitués des STR nerveux.
De par son prix, relativement élevé pour un DLC, « La Résistance » était attendu au tournant par les joueurs qui n'espéraient rien de moins qu'un contenu massif et abouti venant améliorer de façon importante l'expérience de jeu. Sur ce point-là, le contrat est rempli haut la main.