Praetorians - HD Remaster ne va pas plus loin que ce que ses développeurs avaient annoncé : une compatibilité avec les systèmes d'exploitation modernes, et une sortie sur les consoles.
Il était le meilleur il y a vingt ans, il l'est toujours de nos jours. Avouons qu'il est réellement difficile de trouver quelque chose de concret à reprocher à cette Definitive Edition.
Nul besoin de réinventer un jeu de fond en comble quand vous avez compris qu’il est suffisant de reprendre le meilleur de ce qui a été fait et d’y saupoudrer les bonnes idées. Anno 1800 est tout simplement le meilleur Anno depuis 1404, qu’il parvient à égaler sans difficulté.
Attention, c'est difficile. C'est corsé, c'est ardu, c'est du jeu de gestion pour connaisseur, alors si Tropico vous donne des cheveux blancs, n'y allez pas. Mais le jeu est franc depuis le début et vous avertit d'emblée de sa complexité et de sa profondeur.
Indéniablement, Battlefield V est en train de payer très cher, dans tous les sens du terme, sa communication épouvantable et ses choix hasardeux, qui oscillent toujours autant entre l’arcade assumée et la simulation authentique.
Défendre les îles de Bretagne contre les envahisseurs n’est pas une tâche simple, mais elle est très amusante, sans aucun doute. Et rudement agréable à l’œil avec ça : le cel-shading fait fort bien son œuvre.
On nous promettait de visiter la jeune Rome du IVe siècle avant J.-C., le contrat est rempli. Il n’y a objectivement rien à redire : un gros travail de recherche historique a été mené, le jeu a subi tout le ravalement de façade nécessaire pour coller à la période voulue, et l’approfondissement du système politique est aussi bien pensé que bienvenu. Reste cette IA calamiteuse qui vous contraint trop souvent au match de boxe sans fin.
Qui a dit que piloter un transport de troupes ne serait pas amusant ? Le jeu de JetCat Games occupe une place qu’il fallait prendre et satisfait sur l’essentiel. Assez pour valoir le prix qu’il demande et dépayser comme il convient l’habitué des simulations de chars ou d’avions.
Les joueurs qui ne connaissent que peu voire pas du tout cette période de l’Histoire risquent de ne voir en Empire Divided qu’un scénario différent avec des conditions de départ et des unités changées, auquel cas vous pouvez retirer un point à cette note, mais ce DLC s’avère plus profond que ça ; en apportant un renouveau des unités, une narration bien meilleure, des positions de départ et des objectifs différents et une ambiance à mi-chemin entre la Rome impériale du jeu de base et la Rome agonisante d’Attila.
Pour un premier jeu, c’est plutôt réussi, et à ce prix-là, Oriental Empires mérite le coup d’œil. On aurait quand même aimé que le titre aille plus loin, plutôt que de ne proposer qu’un immense match à mort entre royaumes combattants sur les mêmes cartes, quand bien même ce match à mort est prenant.
Stronghold Kingdoms n’est pas mauvais dans son gameplay, mais dans sa finition et son enrobage à la sauce Free-to-play miteux cherchant à essorer la licence jusqu’au bout. Le principe du jeu se prête bien à celui d’un F2P mobile, mais pas son apparence ni ses contrôles.
Sorti le 13 septembre 2007, Medal of Honor : Airborne perpétue la tradition de la série d’Electronic Arts et continue de proposer au joueur le cadre du dernier conflit mondial...