L'immense campagne de fouilles entamée sur la nécropole de Saqqarah, à proximité de l'ancienne capitale de Memphis, n'en finit plus de recracher des sépultures.
Le 11 novembre approche, et cette année 2020 marquera, dans un contexte très particulier et dégradé, les commémorations autour du 102ème anniversaire de la fin des hostilités de la Grande Guerre.
« J'ai la fierté d'avoir fait mon devoir. » C'est avec ces mots que terminait la dernière interview de Pierre Simonet, l'un des trois derniers compagnons de la Libération encore en vie.
L'actualité peut être joueuse : à peine plus d'une semaine après l'annonce d'une série Netflix sur la bataille de Teutobourg (en 9 av. J.-C.), les fouilles du champ de bataille font à nouveau parler d'elles... et d'une manière phénoménale.
Ou plutôt 59, pour être exact : c’est le nombre de sépultures que l’immense nécropole antique de Saqqarah, au Caire, vient de livrer aux yeux émerveillés des chercheurs.
L’Égypte n’a pas fini de livrer ses trésors au monde : on nous informe par la voix de Mr. Khaled El-Enany, ministre égyptien du Tourisme et des Antiquités, que le plateau de Saqqarah a livré un tout nouvel ensemble funéraire de sarcophages.
Jusqu'à la fin de l'été 1757, les mouvements militaires de la Russie sont plutôt timides. À l'aube de la guerre de Sept Ans, ces derniers prennent le parti de rejoindre l'Autriche et la France pour limiter l'influence croissante de la Prusse.
L'année 2020 fête les 75 ans de Rosatom, l'agence nucléaire russe. Pour cette occasion, elle a déclassifié les images -jusque-là secrète- de la bombe Tsar.
Tout commence en Février 1793, quand la République française déclare la guerre à la Grande-Bretagne dans la lignée du conflit qui fait déjà rage sur le continent depuis presque un an.
Après l'annexion de la Saxe par la Prusse en 1756, Frédéric II réfléchit à un plan audacieux et risqué. Il refuse de camper sur ses positions, d'être sur la défensive. Il veut détruire l'armée autrichienne et réduire à néant ses capacités militaires.