Kingdoms & Castles est un bon petit jeu. Petit jeu car graphiquement les textures sont simplistes, le prix aussi : 9,99 € sur Steam. Les différentes saisons ainsi que les problèmes (attaques, maladies…) sont très intéressants et rendent le jeu exigeant, notamment avec les demandes des citoyens (charbon, eau…)...
Second Wave vaut ses 8 euros, mais clairement pas un seul centime de plus. Pour le contenu présenté, le prix est juste. Ce DLC réussit à s’appuyer sur la force principale de son contenu, à savoir les quatre nouvelles divisions...
Pour un premier jeu, c’est plutôt réussi, et à ce prix-là, Oriental Empires mérite le coup d’œil. On aurait quand même aimé que le titre aille plus loin, plutôt que de ne proposer qu’un immense match à mort entre royaumes combattants sur les mêmes cartes, quand bien même ce match à mort est prenant.
Stronghold Kingdoms n’est pas mauvais dans son gameplay, mais dans sa finition et son enrobage à la sauce Free-to-play miteux cherchant à essorer la licence jusqu’au bout. Le principe du jeu se prête bien à celui d’un F2P mobile, mais pas son apparence ni ses contrôles.
Europe at War est incontestablement un très bon mod, voire le meilleur sorti pour Company of Heroes à ce jour. Le rééquilibrage des dégâts (il faut enfin moins de trois coups de panzerfaust pour détruire un Sherman) amène un mod au jeu très nerveux, et surtout renouvelé : les nouvelles unités et les théâtres d’opération font de chaque partie une nouvelle à découvrir.
Third Rome continue à approfondir Europa Universalis IV, mais très légèrement et de façon maladroite, là où les précédents DLCs le faisaient bien mieux.
Death or Dishonor est un DLC au prix honnête pour son contenu. Il permet d’apprécier davantage jouer les pays d’Europe centrale et orientale, avec des mécaniques personnalisées et leur étant propres.
À condition de poursuivre le développement du jeu et de corriger ce qui peut et ce qui doit l’être, War Across the World a ce qu’il faut dans le ventre pour réussir son pari fou. Alors si pour l’instant, le pari est plutôt casse gueule, l’histoire pourrait vite devenir très belle. La balle est désormais dans le camp des développeurs.
Valhalla Hills ne marquera pas l’histoire des jeux de gestion. La direction artistique est le gros point fort du jeu. L’ambiance graphique et sonore est réussie. Le style cartoon séduira tous les publics. Malheureusement, une fois la manette en main, la donne change très vite. Le jeu est trop répétitif. On passe de carte en carte en reproduisant à chaque fois la même stratégie, à peu de chose près. À cela s’ajoute l’énervement causé par la caméra désastreuse, le curseur peu maniable ou le manque de réactivité des vikings.
Army General est très classique en soi. De surcroit, il est véritablement ruiné par d’énormes soucis, principalement au niveau de l’équilibrage. Et malheureusement pour lui, Army General se fondra rapidement dans la masse de wargames moyens.
Ce « Mandate of Heaven » a été pensé dans un seul but : offrir l’expérience de jeu la plus profonde possible, tout en restant simple et pratique. Et force est de constater que c’est plutôt réussi ! Jusqu’alors ignoré des DLC, l’Extrême-Orient a droit à un contenu soigné et personnalisé, très appréciable pour la Chine et pour le Japon.
Ce DLC « Monks and Mystics » parvient à donner à la religion les lettres de noblesses qu’elle mérite vraiment et une réelle dimension impactant le gameplay dans Crusader Kings II. Nul doute que l’expérience de jeu en sortira modifiée pour le joueur.