Together for Victory ressemble plus à une grosse mise à jour qu’à un véritable DLC d’extension. Cependant, si on arrive à oublier que notre portefeuille a dû dépenser 15€, l’extension n’est pas mauvaise en soit. Elle est même plutôt bonne. Toutefois, sans être indispensable, Together for Victory manque légèrement de contenu pour le prix auquel il est vendu. Notre recommandation : si vous n’avez pas l’édition Maréchal de HOI IV et que vous n’êtes pas pressés, attendez qu’elle soit soldée lors de prochaines soldes.
Steel Ocean ne vaut pas ses quelques gigas à télécharger. Le jeu n'est pas très complet et les parties très longues à trouver. De plus, les graphismes ne sont pas adaptés à l'époque, et des animations maladroites font presque penser à un jeu mobile. Ce jeu est donc une déception comparé à son rival World of Warships et la présence des sous-marins ne permet pas de relever vraiment le niveau.
Carrier Battles for Guadalcanal est un jeu intelligent, précis en ce qui touche l’aéronavale et d’une grande simplicité d’usage. Il enseignera aux amiraux en herbe à prendre le train de la révolution provoquée par les porte-avions. La bonne rejouabilité apportée par les scénarios hypothétiques et par la position variable des forces au départ de chaque scénario sera décuplée par l’implantation prévue d’un mode multijoueur.
Ce nouvel opus de la saga des Strategic Command fait basculer la licence dans une nouvelle dimension. Abouti et sérieux dans sa réalisation, le jeu se veut être au moins aussi complet qu’il n’est austère. À conseiller uniquement pour les amoureux des gros wargames hardcore qui ne sont pas frileux à l’idée d’avoir une ergonomie minimale.
Heroes & Generals est un jeu tout à fait honnête où vous pourrez jouer sur de nombreux champs de bataille sans dépenser un seul euro. Pour les plus impatients, il est possible de payer pour avancer plus vite, sans toutefois dériver dans le pay to win fort heureusement.
Le principal défaut de Sherlock Holmes : The Devil's Daughter est sa trop grande facilité de par la grande assistance apportée aux joueurs. Le doublage français est convaincant, et les musiques se prêtent bien aux situations vécues. Le scénario est une véritable force pour le jeu. Les scénaristes n'ont pas hésiter à plonger les joueurs dans un univers susceptible d'éveiller en eux une curiosité morbide.
Vous l'aurez compris, je ne saurais que trop vous recommander l'achat si vous êtes fans des jeux de grande stratégie, car il est à mon sens ce qui se fait de mieux à l'heure actuelle. Attendu depuis longtemps, Hearts of Iron IV ne déçoit pas. Ce qui constitue le plus ambitieux des projets de Paradox est une véritable réussite parvenant à remporter un franc succès là où son prédécesseur pêchait cruellement.
Entre jeu vidéo, cours d'histoire et récit de famille, 1979 Revolution : Black Friday intrigue par son sujet, et par l'obscure clarté de son récit. Tantôt un peu lent, tantôt trop rapide, le rythme paye peut-être le prix des mystères entourant la narration.
La différence principale avec son prédécesseur China n'est autre que la forme, c'est-à-dire le graphisme, les personnages ainsi que l'époque dans laquelle ils évoluent. Le gameplay suit les mêmes bases : comportement de l'IA, commandes, course contre-la-montre... Assassin's Creed Chronicles : India présente aussi les mêmes défauts : scénario, doublage, redondance du gameplay... En plus d'y ajouter les siens, comme le dosage houleux de la difficulté.
Avec les bug de contrôle sur les PNJ ainsi qu'une animation des plus aberrantes rehaussée par un problème de contraste, l'expérience Alekhine's gun apporte d'emblée son lot de frustration. En passant outre ses défauts, il faut souligner la durée de vie d'une vingtaine d'heures - qui gonfle considérablement s'il s'agit de réaliser toutes les missions avec un score parfait dans les quatre difficultés disponibles - ainsi que la liberté de pouvoir accomplir les objectifs dans l'ordre souhaité.
Malgré ses mécanismes simplifiés, Assault on Arnhem réussit là où Wars and Battles a échoué : placer le joueur dans un contexte de commandement crédible où chaque succès est remporté au prix d’une planification tendue et de quelques gouttes de sueur au niveau tactique.
Malgré mon goût pour jeux d'énigmes, de casse-tête et de réflexion, je ne peux pas dire que je me sois follement amusée en jouant à Agatha Christie : The ABC Murders. La faute à un déroulement trop directif et à des recherches d'indices trop évidentes.