Non, Call of Duty WWII n’est clairement pas le jeu du siècle, mais son solo inspiré, couplé à la volonté des développeurs de faire quelque chose de nouveau et de profond, bien que la réalisation soit quelque peu maladroite, nous pousse à saluer les efforts qui ont été faits et entrepris. Le jeu opère un retour encourageant dans l’Histoire. Si tout est loin d’être parfait, il offrira une expérience de jeu plaisante aux amoureux des premiers opus de la saga. Le multijoueur, pour sa part, complète le tableau et plaira davantage aux joueurs arrivés plus récemment.
Second Wave vaut ses 8 euros, mais clairement pas un seul centime de plus. Pour le contenu présenté, le prix est juste. Ce DLC réussit à s’appuyer sur la force principale de son contenu, à savoir les quatre nouvelles divisions...
Third Rome continue à approfondir Europa Universalis IV, mais très légèrement et de façon maladroite, là où les précédents DLCs le faisaient bien mieux.
Death or Dishonor est un DLC au prix honnête pour son contenu. Il permet d’apprécier davantage jouer les pays d’Europe centrale et orientale, avec des mécaniques personnalisées et leur étant propres.
À condition de poursuivre le développement du jeu et de corriger ce qui peut et ce qui doit l’être, War Across the World a ce qu’il faut dans le ventre pour réussir son pari fou. Alors si pour l’instant, le pari est plutôt casse gueule, l’histoire pourrait vite devenir très belle. La balle est désormais dans le camp des développeurs.
Ce « Mandate of Heaven » a été pensé dans un seul but : offrir l’expérience de jeu la plus profonde possible, tout en restant simple et pratique. Et force est de constater que c’est plutôt réussi ! Jusqu’alors ignoré des DLC, l’Extrême-Orient a droit à un contenu soigné et personnalisé, très appréciable pour la Chine et pour le Japon.
Ce DLC « Monks and Mystics » parvient à donner à la religion les lettres de noblesses qu’elle mérite vraiment et une réelle dimension impactant le gameplay dans Crusader Kings II. Nul doute que l’expérience de jeu en sortira modifiée pour le joueur.
Together for Victory ressemble plus à une grosse mise à jour qu’à un véritable DLC d’extension. Cependant, si on arrive à oublier que notre portefeuille a dû dépenser 15€, l’extension n’est pas mauvaise en soit. Elle est même plutôt bonne. Toutefois, sans être indispensable, Together for Victory manque légèrement de contenu pour le prix auquel il est vendu. Notre recommandation : si vous n’avez pas l’édition Maréchal de HOI IV et que vous n’êtes pas pressés, attendez qu’elle soit soldée lors de prochaines soldes.
Ce nouvel opus de la saga des Strategic Command fait basculer la licence dans une nouvelle dimension. Abouti et sérieux dans sa réalisation, le jeu se veut être au moins aussi complet qu’il n’est austère. À conseiller uniquement pour les amoureux des gros wargames hardcore qui ne sont pas frileux à l’idée d’avoir une ergonomie minimale.
Right of Man se place dans la continuité des DLC précédents, sans révolutionner la ligne directrice ni présenter d’ambition démesurées. Les quelques ajouts qu’il propose ont le mérite de dépoussiérer toujours un peu plus le jeu et le remettent au goût du jour encore des années après sa sortie, tout en offrant davantage de possibilités au joueur.
Il est rare qu’un DLC de Crusader Kings II soit mauvais. Ce Reaper’s Due est dans son genre excellent, même si son sujet le pousse également à être très frustrant et punitif. Au final, il faudra au joueur de Crusader Kings II se laisser gagner par le masochisme qui sommeille en lui pour tenter de relever le challenge que constitue les épidémies. Crusader Kings II : The Reaper’s Due se révèle au final être aussi mortel qu’excellent. Les mécaniques de jeu qu’il ajoute sont très réalistes et nul doute qu’il saura offrir un second souffle à un jeu déjà sorti depuis bientôt 5 ans.
Vous l'aurez compris, je ne saurais que trop vous recommander l'achat si vous êtes fans des jeux de grande stratégie, car il est à mon sens ce qui se fait de mieux à l'heure actuelle. Attendu depuis longtemps, Hearts of Iron IV ne déçoit pas. Ce qui constitue le plus ambitieux des projets de Paradox est une véritable réussite parvenant à remporter un franc succès là où son prédécesseur pêchait cruellement.