Moyen-âge
Histoire de l’Empire byzantin (IVème siècle de notre ère – 518)
L'Histoire de l'Empire byzantin
- Partie 1 : IVème siècle de notre ère – 518
- Partie 2 : 518 – 610
- Partie 3 : 610 – 867
- Partie 4 : 867 – 1081
- Partie 5 : 1081 – 1204
Avant de commencer à parler de l’Empire byzantin, également appelé Empire romain d’Orient, on est en droit de se demander quels sont les intérêts d’une telle histoire dans celle, plus globale, du Moyen-âge (ce qui, je l’espère, vous fera lire cet article et les suivants).
La datation habituellement retenue pour cet empire — IVe siècle de notre ère à 1453 — se révèle déjà couvrir l’entièreté du moyen-âge ; de plus, les dates charnières de l’Empire byzantin marquent, sinon des ruptures — ce qui serait trop simplificateur —, des transitions entre plusieurs époques.
Je vois également un grand intérêt à étudier cette portion de l’histoire, car elle est généralement peu connue, malgré sa richesse et son importance (dire que l’Empire romain a survécu jusqu’au XVe siècle, dans le cas de l’Empire byzantin, fait presque passer pour un comique, c’est dire).
Enfin, cet empire se révèle particulièrement intéressant d’un point de vue de mixité culturelle ; en effet, il est la preuve de la réussite d’une « osmose » entre les civilisations occidentale et orientale — pour rester très schématique — durant plus de mille ans (et si ça pouvait aller jusqu’à donner des idées à certains de nos contemporains ?).
Le but de cet article n’étant pas de vanter les mérites de la connaissance de l’histoire byzantine, attaquons-nous sans plus attendre au vif du sujet. Pour un maximum de clarté, nous suivrons l’ordre chronologique des faits, en nous attardant principalement sur ce qui mérite de l’être — à mes yeux en tout cas.
Séparation de l’Empire romain et Constantin
Afin de comprendre la suite des événements, il faut tout d’abord commencer par la séparation de l’Empire romain, qui équivaut in fine à la création de l’Empire romain d’Orient, c’est-à-dire l’Empire byzantin.
Une première division, officieuse, a lieu à la fin du IIIe siècle de notre ère (293), des suites de l’instauration par l’empereur Dioclétien de la tétrarchie (gouvernement à quatre, pour les allergiques au grec ancien).
L’Empire n’est pas officiellement séparé, ce n’est là qu’une simplification administrative, afin de mieux gérer les difficultés causées par les Grandes Migrations.
Il faudra attendre la mort de Théodose le Grand, en 395, pour que la séparation entre l’Empire romain d’Orient et celui d’Occident soit « définitive ». Après cela, les empereurs respectifs de la partie orientale et occidentale de l’Empire n’empiéteront plus politiquement l’un sur l’autre (même si la chute de Rome moins d’un siècle plus tard aidera ce « respect de l’autre »).
Cependant, dans les faits, l’Empire était toujours perçu comme étant unifié, ayant simplement deux empereurs dirigeants chacun une partie de l’Empire.
Passons maintenant à ce que l’on pourrait considérer comme le père spirituel de l’Empire byzantin : Constantin Ier, empereur de l’Empire romain de 310 à 337. Il fait tout d’abord partie du système de tétrarchie instaurée par Dioclétien avant d’éliminer les trois autres régents de l’Empire et de régner sans partage. Ce grand empereur est particulièrement important pour trois éléments : son édit de tolérance religieuse, les réformes administratives de l’Empire et la fondation d’une nouvelle capitale.
Commençons donc avec l’édit de Milan de 313. Cet édit est fondamental pour l’histoire du christianisme, en ce qu’il marque la fin des persécutions et qu’il met cette religion à égalité avec les autres cultes. À la suite de cet édit, chaque culte ou religion est libre de pratiquer sa foi comme il l’entend. Attention toutefois, il ne faut pas confondre l’édit de Milan — qui ne favorise pas ou très peu le christianisme par rapport aux autres religions ou cultes — avec la proclamation par Théodose le Grand, en 380, du christianisme comme religion d’État de l’Empire romain. Par la suite, Constantin — s’étant converti au christianisme — accordera des privilèges spécifiques à l’Église chrétienne.
Il faut cependant nuancer cette conversion : en effet, Constantin n’a été baptisé que sur son lit de mort ; de plus, l’on parle souvent d’une conversion « utilitariste » plutôt que d’une conversion vraiment spirituelle (l’épisode du Pont Milvius peut en attester) même si le débat reste ouvert.
Le deuxième élément important à propos de Constantin est sa politique de réformes administratives. On peut déjà citer l’aboutissement d’une stricte centralisation du pouvoir dans les mains de l’empereur.
En cela, il parachève la tradition venue de provinces conquises (tel que l’Égypte par exemple), qui remontait à Auguste. Cette dernière tendait à orientaliser la conception de l’empereur pour en faire l’équivalent d’un dieu vivant.
Constantin participe également à l’aboutissement de la mise en place d’une administration très nombreuse, et d’une bureaucratie compliquée.
Finalement, d’un point de vue plus économique, Constantin établit un nouveau système monétaire basé sur le solidus (solide » - « stable »). Comme son nom peut l’indiquer, cette monnaie permettra une nouvelle confiance dans l’Empire (le solidus étant très surveillé), ce qui favorisera le commerce ; de plus, cette monnaie sera tellement stable qu’elle sera conservée jusqu’au XIe siècle dans l’Empire byzantin, ce qui en fait une monnaie à la longévité exceptionnelle.
Enfin, le troisième fait marquant du règne de Constantin est évidemment la fondation de Constantinople et le déplacement de la capitale dans cette ville en 330. La création de cette dernière se fait sur l’emplacement d’une ancienne colonie, Byzance (d’où l’appellation « Empire byzantin », pour ceux qui ne suivraient pas).
Le choix ne s’est pas porté à cet endroit par hasard, bien au contraire. En effet, un certain nombre d’empereurs avaient déjà désiré déplacer la capitale de l’Empire en Orient ; de plus, l’emplacement de Constantinople était idéal à de nombreux points de vue : la nouvelle capitale commandait les passages entre l’Europe et l’Asie — et faisait donc la jonction entre l’Orient et l’Occident —, était située sur un promontoire à l’entrée du Bosphore — ce qui était donc une position stratégique efficace — et se trouvait proche des principaux foyers de la civilisation hellénique.
Tout ceci a notamment contribué à la création de cette civilisation byzantine si particulière, que l’on pourrait qualifier de « christiano-gréco-orientale ». Pour la petite histoire, le nom de la ville n’a pas été donné par Constantin, mais après sa mort. L’origine du mot signifie simplement « la ville de Constantin » : Κωνσταντινούπολις (Kônstantinoúpolis ; « polis » en grec signifie la ville, la cité).
On le voit, Constantin a donc été un personnage marquant de l’histoire de l’Empire romain, et plus particulièrement de l’histoire qui nous intéresse ici : celle de l’Empire romain d’Orient. En effet, il a contribué à la mise en place d’éléments qui ont non seulement été fondamentaux dans la suite de cet empire (la tolérance du christianisme qui conduira à son officialisation en tant que religion d’État, la création de Constantinople, la mise en place d’une administration forte, etc.), mais qui peuvent également être considérés comme ayant participé à la longue survie de l’Empire byzantin.
Il s’ensuivra jusqu’à Théodose une série d’empereurs dont il n’est pas fondamental de parler ici. S’il fallait retenir un nom autre que Constantin et Théodose pour ce IVe siècle, ce serait celui de Julien, dit l’Apostat. La particularité de son règne (de 361 à 363) se retrouve dans son nom : en effet, cet empereur a tenté de remettre le paganisme à l’ordre du jour. Sa tentative ne sera que peu fructueuse (et c’est un euphémisme), mais elle est tout de même à noter, comme étant la dernière tentative de reconstitution du paganisme dans l’Empire.
Théodose le Grand
Théodose Ier, qui sera également appelé Théodose le Grand, règne de 379 à 395 et est le prochain grand nom des débuts de l’histoire byzantine. C’est en effet à sa mort, en léguant à ses deux fils Arcadius et Honorius le gouvernement respectif de l’Orient et de l’Occident, que la distinction entre les deux empires romains se fait officiellement et définitivement.
Cependant, dans l’esprit des habitants de l’époque, cette séparation n’était pas autant définitive et nette qu’elle ne l’est pour nous ; les deux augustes étaient considérés comme étant simplement co-empereurs, et l’unité de l’Empire romain n’était pas remise en cause. Cela explique par exemple que le latin sera longtemps préféré au grec dans l’Empire d’Orient, et également la volonté de Justinien de restaurer l’Empire universel (on y reviendra dans un prochain article, je vous rassure).
Outre cet élément important, Théodose est connu pour avoir fait triompher le christianisme. En 380, c’est-à-dire un an seulement après son « entrée en fonction », il décrète l’Édit de Thessalonique, qui fait du christianisme la religion officielle de l’état ; il interdit dans le même temps les cultes païens.
Son règne sera également marqué par des privilèges accordés au clergé chrétien et, conséquence de l’Édit de Thessalonique, à l’abandon de la tolérance en matière de foi religieuse.
De cela découle donc non seulement le « début de la fin » pour le paganisme (ce qui est déjà conséquent), mais Théodose étant nicéen, une animosité certaine envers l’arianisme (une doctrine chrétienne séparée de la doctrine « principale » sur d’obscurs détails à propos de Jésus Christ). D’un point de vue religieux, il faut donc retenir de cet empereur le triomphe du christianisme sur (principalement) le paganisme.
On peut enfin également citer pour cet empereur le rôle qu’il a joué dans la gestion de la crise germanique (Goth pour être précis) à la fin du IVe siècle. Les Goths mènent des pillages et des incursions dans l’empire durant le IIIe siècle (pour de multiples raisons ; l’article de Yann Davincicorp vous en apprendra plus sur le sujet). Vers 270, l’empereur Aurélien est obligé de céder la Dacie aux Goths, qui s’y installent donc.
Jusqu’en 375, les relations entre les Goths et l’Empire sont plutôt amicales ; la pression des Huns se fait alors ressentir et les Wisigoths demandent l’autorisation de s’installer en Thrace et en Mésie, c’est-à-dire en territoire romain.
Cependant, les nouveaux venus (dont une estimation porte le nombre à plusieurs centaines de milliers) étaient mal traités par les autorités romaines, et une révolte éclate rapidement. Les Goths se mettent alors à piller l’Empire et remportent plusieurs victoires contre les Romains. Théodose réussit cependant, avec l’aide de certains Goths, à vaincre les pillards. Leur révolte matée, les Goths commencent à prendre plus de place dans la vie de l’Empire, et ce pacifiquement. Si vous voulez plus de précision au sujet des « Barbares » au service de Rome, je vous conseille l’article de Wodderick (lire l'article).
En résumé, on peut dire que le règne de Théodose le Grand est en demi-teinte : effectivement, il a réussi à faire triompher le christianisme dans l’Empire (même s’il n’a pas réussi à supprimer l’arianisme), mais il a dû pour cela accepter l’aide des Goths pour vaincre leurs confrères, et ainsi donner à ces « Barbares » une place de plus en plus grande dans l’Empire, alors qu’ils étaient pour la plupart païens (si ça ce n’est pas de l’ironie du sort ?).
Cette prépondérance germanique dans l’Empire (et notamment dans l’armée) aura par la suite des conséquences importantes, causant notamment un vif mécontentement aux populations indigènes ; il se développera donc un anti-germanisme dans l’Empire byzantin.
On peut notamment remarquer le danger direct que les Ostrogoths de Théodoric faisaient peser sur l’Empire byzantin.
Le Ve siècle et la chute de l’Empire romain d’Occident
Le Ve siècle est marqué dans l’Empire byzantin par des troubles, et ce à deux niveaux. Premièrement, une conséquence de la politique religieuse de Théodose a été de créer du mécontentement chez les populations attachées à l’arianisme (c’est-à-dire la grande majorité de la population syrienne, égyptienne et d’Asie Mineure).
D’autres tensions religieuses (comme si ça ne suffisait pas…) arrivent ensuite avec l’apparition du nestorianisme, qui aura de nombreux adeptes.
De plus, à ces problèmes religieux était lié un problème national, c’est-à-dire la lutte entre les différentes nationalités composant l’Empire. En effet, l’hellénisme n’avait pas encore un rôle de force unificatrice assez fort, et n’était donc pas à même de réunir les peuples disparates de l’Empire sous une même bannière.
Des problèmes politiques externes sont également apparus, dont notamment des conflits avec les Perses (sur la frontière orientale), des invasions bulgares ou encore les ravages causés par les Huns de Attila.
Ces crises furent résolues de façon très noble et courageuse... en détournant le problème sur l’Empire d’occident ! En effet, l’Empire d’Orient avait, en plus d’être d’habiles diplomates, les moyens de payer des tributs.
Deux épisodes plus positifs que les troubles que l’on vient de voir, et qui sont également importants, sont la création de l’École supérieure de Constantinople, et la publication du Codex Theodosianus.
La création de cette nouvelle Université dans la capitale par Théodose II en 425 est importante non seulement d’un point de vue de l’enseignement et de la centralisation du savoir à Constantinople, mais également en ce qu’elle marque une prise de conscience et un état de fait. En effet, alors que la langue officielle de l’État est le latin, environ la moitié des chaires de l’Université sont créées en grec, ce qui montre bien l’importance de cette langue dans (notamment) la capitale. Il ne faut pas oublier que si le latin reste la langue officielle, les empereurs de l’Empire romain d’Orient règnent bien sur des Grecs en majorité.
Le deuxième événement est la publication du plus ancien recueil de constitutions impériales en 438 : le Codex Theodosianus (ça signifie simplement « Code de Théodose »). Ce Code est historiquement important, car c’est la source la plus précieuse dont on dispose pour étudier l’histoire de l’Empire aux IVe et Ve siècles. De plus, ce Code servira de base à la législation justinienne.
Ces deux événements peuvent également être vus comme une preuve de l’efficacité de l’administration byzantine.
On parle toujours de la Chute de l’Empire romain en 476 comme si du jour au lendemain, un empire florissant était inondé de barbares féroces et assoiffés de sang, qui réduisaient une civilisation et une culture exemplaires à néant... Désolé pour ceux qui aiment les belles histoires où tout est aussi net et définitif, mais 476 pourrait en vérité plus être comparé à un pétard mouillé qu’à un feu d’artifice du Ier août (jour de la fête nationale suisse… il faut bien afficher ses racines non ?). J’exagère légèrement en présentant les choses ainsi, mais il est vrai que du côté de l’Empire byzantin en tout cas, il n’y a eu que peu de répercussions.
Pour expliquer brièvement cette date, il faut rappeler que les chefs germaniques des armées de l’Empire ont progressivement pris plus d’importance au cours de la seconde moitié du Ve siècle, et ce particulièrement dans la partie occidentale de l’Empire. Cet état de fait a « empiré » jusqu’à ce que l’un de ces généraux, Odoacre, devienne assez puissant pour déposer le dernier empereur de l’Empire d’Occident : Romulus-Augustule.
Il ne faut cependant pas voir cet événement comme la conquête d’un Empire et la consécration d’un nouvel empereur : bien au contraire, Odoacre envoie même une ambassade à Zénon (l’empereur de l’Empire d’Orient du moment) pour le reconnaître comme étant l’empereur d’Italie.
En « contrepartie », Odoacre demande simplement à Zénon le rang de patriciat romain, afin qu’il soit le maître légitime de l’Italie. Zénon doit accepter ce marché, principalement parce qu’il n’a pas les troupes nécessaires pour vaincre Odoacre.
Cet événement est révélateur, en ce qu’il met bien en évidence le fait que l’Empire romain était encore considéré comme étant indivisé, comme un empire unique, avec simplement deux empereurs pour le gouverner, l’un en Occident et l’autre en Orient. 476 marque donc simplement un changement : on passe alors à un seul empereur, Zénon en l’occurrence, qui règne sur la partie orientale de l’Empire.
Par la suite, Odoacre devient de plus en plus indépendant, au point que cela commence à poser problème à Zénon. N’ayant pas les troupes nécessaires pour mener cette guerre, il fait d’une pierre deux coups en détournant habilement les Ostrogoths de Théodoric, qui ravageaient la Péninsule balkanique, vers les riches terres d’Italie.
Ainsi, Zénon se débarrassa non seulement d’Odoacre, qui devenait un gouverneur gênant, mais aussi de la menace ostrogothe, bien réelle, qui pesait sur l’Empire.
Théodoric marcha donc sur l’Italie et battit Odoacre ; il fonda un royaume ostrogoth qui eut pour capitale Ravenne.
Conclusion
La période s’étendant d’Arcadius (le successeur oriental de Théodose) à Anastase, c’est-à-dire de 395 à 518, est particulièrement intéressante sur deux points : les questions nationales (politiques) et religieuses — qui ont d’ailleurs été bien souvent liées.
Les Goths ont représenté la plus grande menace à laquelle a dû faire face l’Empire byzantin durant cette période ; la tendance à l’arianisme qui se met en place chez les Goths n’aide par ailleurs pas à résoudre les problèmes...
On peut donc dire que c’est là un problème national, interne à l’Empire comme on l’a vu. La menace ostrogothe au nord de l’Empire, à la fin du Ve siècle, peut être quant à elle plus considérée comme politique et était assurément sérieuse ; cependant, grâce à l’habileté (la fourberie ?) de l’empereur Zénon, cette menace fut redirigée vers l’Italie et Odoacre. On peut également mentionner les incursions des Bulgares et des Slaves, même si ce n’est là que le début des ennuis pour l’Empire byzantin.
D’un point de vue religieux, les problèmes ne se sont pas vraiment posés sur la reconnaissance du christianisme (l’Édit de 380 l’instaurant comme religion d’État), mais au contraire sur des divergences d’opinions à l’intérieur même du christianisme : on peut citer les quatre courants ayant causé des troubles, conséquents qui plus est, durant cette période : les ariens, les nicéens, les nestoriens et les monophysites.
Pour conclure, on peut dire que cette période est très importante pour l’histoire de l’Empire byzantin, en ce qu’elle en est tout simplement la base. L’établissement du christianisme et la fondation de Constantinople, pour ne citer que deux exemples, sont des événements qui influenceront et seront partie intégrante de l’Empire byzantin jusqu’à sa chute en 1453.
Je précise tout de suite à l’attention des lecteurs qui commenceraient à perdre le contrôle de leurs nerfs que je ferai évidemment la suite de cette histoire byzantine dans d’autres articles. Dans le prochain justement, nous nous intéresserons notamment à Justinien et à sa reconquête de la partie occidentale de l’Empire romain.
Sources
- Vasilʹev, Aleksandr Aleksandrovich, Histoire De L’Empire byzantin, Tome 1, Paris, 1932, 498 pp.
- José GROSDIDIER DE MATONS, « BYZANCE — L’Empire byzantin », Encyclopædia Universalis.
Divers articles de site d’histoire Hérodote :
http://www.cosmovisions.com/ChronoByzance.htm
http://medieval.mrugala.net/Divers/Empire%20Byzantin%20-%20histoire.htm
- Bat'Histor, Contributeur
- "Deux choses sont infinies : l’Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l’Univers, je n’en ai pas encore acquis la certitude absolue." Einstein
- "L'âge d'or était l'âge où l'or ne régnait pas." Claude-François-Adrien