Toujours plus d'engins pour War Thunder

C'est l'heure de la mise à jour bi-trimestrielle (approximativement) de War Thunder, nommée Sky Guardians pour l'occasion et que nous vous annoncions dans nos colonnes.

Dans une nouvelle vidéo, le studio reprend les précédentes annonces et en ajoute quelques-unes nouvelles : outre le célèbre Little Bi, le F-16A et le Pantsir-S1, on y trouvera quelque chose que les fans attendent depuis longtemps en trépignant.

... c'est en effet les deux premiers représentants de la Royale, la Marine Nationale, autrement dit de la flotte française, grande absente jusqu'ici. Il s'agit du croiseur léger Duguay-Trouin.

War Thunder

Entré en service en 1927, ce navire doit son nom au redoutable corsaire malouin qui fit une belle carrière au service de Louis XIV, et s'employa a ravager les côtes et le commerce hollandais et britannique. Servant pendant la dernière guerre mondiale avec les Alliés et en Indochine sans discontinuer, ce croiseur est à la fois bien armé et extrêmement rapide.

L'autre est le torpilleur Aigle, premier navire de la série de six de cette classe du même nom ; face aux autres navires de sa catégorie, il profitera d'une excellente motorisation et de cinq canons de 138 millimètres, de quoi se mesurer aux meilleurs destroyers du jeu.

Les deux navires seront suivis par de nombreux -on l'espère- autres ; en attendant, Sky Guardians amène aussi de nouveaux navires pour tous les grands protagonistes du dernier conflit mondial ; citons le cuirassé italien Duilio, l'USS Nevada que les joueurs de World of Warships connaissent déjà, ou l'aviso allemand Pfeil.

Les forces terrestres reçoivent une tripotée de nouveaux engins ; il y a un peu de tout, même si la part du lion est encore réservée aux engins de la période 1960-1980. Outre le Pantsir déjà cité, on retrouvera le T-72M1 de la république fédérale allemande, le char lourd anglais Challenger 2E, la petite automitrailleuse allemande Sd.Kfz.222 avec son toit ouvert, et même le monstrueux char super-lourd français FCM 2C, un mastodonte de 68 tonnes -oui oui, réellement-, tellement énorme qu'il était construit par un chantier naval et devait être déplacé par voie ferrée.

Incroyablement pesants et d'une mécanique fragile, ces pachydermes n'ont pas pu être employés correctement dans la pagaille de mai-juin 1940, et ont fini bombardés puis sabordés par leurs équipages ; en jeu, ils donneront certainement toute leur valeur grâce à leur blindage et leur artillerie redoutable.

Enfin, les avions à réaction seront maintenant dotés de sièges éjectables, petit plus cosmétique toujours appréciable ; et de nouveaux effets de séparations de traînée de gazs et de dégâts sont ajoutés.

La liste complète est à consulter par ici.