Isonzo : gaz, artillerie et barbelés
Voilà atteinte la mi-2022, et Isonzo, le petit dernier de la série WW1 Game Series, n'est toujours pas disponible à l'achat, légèrement repoussé par ses développeurs. Cependant, ce décalage de la date de sortie ne semble pas être vain, puisque l'équipe continue de dévoiler de nouvelles innovations ajoutées à Isonzo - le jeu sera singulièrement différent de Verdun ou de Tannenberg.
Voyons tout d'abord le point principal du jeu, l'artillerie, qui ne peut être appelée que par l'officier, pour rappel. Les batteries pourront effectuer quatre types de tir, allant de la frappe de mortier au matraquage d'artillerie lourde. Du fait de la géographie des terrains, l'artillerie aura un effet de dispersion plus dangereux que sur Verdun, la faute aux... éclats pierreux envoyés dans tous les sens par les obus.
L'artillerie lourde sera d'un calibre puissant, entre 210 et 305 mm. Bien entendu, au vu de la puissance de la pièce, il sera impossible de faire un long barrage avec cette artillerie, qui tirera néanmoins un obus - dont la puissance pourra nettoyer un secteur. Enfin, les deux dernières options seront liées au barrage classique (10 obus) et le barrage roulant (16 obus), mais avec un temps de rechargement plus long.
Mais ce pan des journaux de développement ne couvre que l'artillerie classique, pas l'artillerie chimique ! Cette dernière disposera de cinq types de tir : trois frappes fumigènes (dont un barrage roulant), et trois de gaz. Le premier est le xylyl, un gaz lacrymogène, tandis que le second est le phosgène, déjà connu sur Verdun... pour finalement terminer avec le gaz moutarde, bien connu lui aussi. Les effets seront plus diffus que sur Verdun, dans le sens où le gaz se répandra en fonction de la topographie, améliorant l'immersion.
Enfin, pour finir, il faut noter que les barbelés pourront être disposés par les joueurs afin d'interdire des sections de terrain ou de tranchées. L'équipe adverse pourra, quant à elle, utiliser des pinces coupantes pour libérer la voie.