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Le célèbre simulateur de guerre mondiale qu'on ne présente plus a sorti récemment une extension rénovant les forces soviétiques, les systèmes d'approvisionnement et de commandement, et ajoutant un certain nombre de contenus.

Paradox Interactive n'a cependant pas l'intention d'en rester là et a publié récemment un communiqué, où le studio annonce les grandes lignes de ce qui va suivre. On annonce tout d'abord le remplacement du directeur du développement du jeu, affecté à d'autres projets à venir au sein du studio. Le nouveau directeur annonce cependant avoir la même vision que son prédécesseur en matière de feuille de route, et poursuivre dans la même voie. Il annonce toutefois vouloir accélérer le rythme de la sortie de nouveaux contenus, et donc publier plus vite les nouvelles annonces.

Plus concrètement, le studio a défini les grandes lignes du développement du jeu :

• Amélioration de la stabilité de la ligne de front.
• Mise en place de stratégies à long terme et d'objectifs pour mieux guider l'IA dans sa progression.
• Refondre le système de conférence de paix.
• Mettre à jour les arbres de priorités nationales génériques, notamment avec des voies uchroniques alternatives et plus d'options, et également revoir l'arbre italien.
• Intégration des projets Wunderwaffe.
• Ajouter plus d'arbre de priorités nationales et différencier les sous-idéologies et formes de gouvernements.
• Rendre le gameplay défensif plus amusant, notamment pour les nations contraintes de patienter un long moment à l'abri de leurs fortifications pour constituer des forces offensives.
• Ajout de mécanismes pour limiter la taille de l'armée professionnelle, en particulier en temps de paix (et, on l'imagine, forcer l'IA a ne plus multiplier jusqu'à l'absurde les divisions sans aucun contrôle, NDLR).
• Améliorer le comportement stratégique et tactique de l'intelligence artificielle.
• Faire en sorte que les doctrines aient plus d'impact sur la conception des divisions.
• Améliorer la diplomatie, avec plus d'outils et de moyens de pression.
• Refondre le volet économique, jusqu'ici très abstrait et simplifier. Le studio ne compte pas en faire un volet trop important (l'intérêt du jeu reste la guerre, après tout), mais d'introduire plus d'outils reflétant le fonctionnement du complexe militaro-industriel de chaque pays.
• Et enfin, introduire des outils renforçant le jeu de rôle et l'immersion en jeu, afin de donner vie à sa partie et s'attacher plus à sa campagne.

Le directeur évoque aussi d'autres pistes, comme l'amélioration des planifications de bataille, des changements dans la politique interne et le système de conseillers, des distinctions idéologiques et l'amélioration du multijoueur. On a hâte.