À la découverte de Homini et Armi : The End of Knights
Surtout connu pour avoir sorti cette année un jeu sur GBA, 22 ans après le début de son développement, AgeofGames est un studio indépendant italien qui a récemment dévoilé son nouveau projet : Homini et Armi : The End of Knights.
Créé par une équipe rassemblant des historiens médiévistes, des game designers et des artistes, Homini et Armi : The End of Knights est le fruit de recherches minutieuses pour vous faire vivre les histoires des chevaliers, mercenaires, nobles et serviteurs du XVe siècle, telles que racontées dans des sources récemment découvertes.
Le jeu est en effet basé sur des textes économiques et militaires authentiques, notamment des documents et des registres comptables rédigés et signés par Micheletto Attendolo, l'un des condottieri de l'époque, aujourd'hui en grande partie oublié mais autrefois renommé et respecté.
En tant que condottiere (capitaine d'une compagnie de mercenaires), vous devrez mener vos « Homini d’Arme » au combat. Vous devrez choisir quels contrats et missions accepter ou refuser auprès de vos clients, lors de phases de dialogues et de gestion.
Les combats se dérouleront ensuite sur des champs de bataille hexagonaux où s’affronteront des dizaines d’unités de combat, inspirées par le génie créatif de Paolo Uccello, le grand artiste à l’origine de La bataille de San Romano. Homini et Armi promet de « faire renaître les mécaniques fondamentales de la guerre du début de la Renaissance pour vous offrir l’opportunité d’écrire votre propre histoire ». Ce système de combat est élaboré en collaboration avec la SISM (Société Italienne d’Histoire Militaire).
Dans cette histoire inspirée d'événements et de personnages historiques réels, vous rencontrerez des condottieri légendaires, des politiciens sournois et des hommes et femmes de l’ombre, tout en naviguant dans le monde complexe des alliances et rivalités des états régionaux naissants de la Renaissance italienne.
Cerise sur le gâteau, le jeu offrira la possibilité d’être joué en plusieurs langues de la Renaissance : italien, anglais, français, allemand, espagnol ou portugais, dans leur variante moderne mais aussi dans leur équivalent du XVe siècle, pour une authenticité accrue.