War Thunder fait danser les dragons
C'est l'automne, c'est la rentrée, c'est donc l'heure d'ajouter de nouvelles entrées à l'encyclopédie militaire de War Thunder. Le simulateur hongrois se met à jour avec son nouveau patch intitulé Dance of the Dragons ; intéressons-nous aux ajouts.
Le principal morceau dudit patch, c'est l'arrivée en bêta-test de la flotte côtière française ; rappelons que désormais les forces navales de War Thunder sont divisée en deux, la flotte de haute mer avec les habituels destroyers, croiseurs et autres cuirassés, et d'autre part la flotte côtière composée d'avisos, de frégates, de vedettes rapides, bref toute une ribambelle de barcasses légères d'ordinaire, cantonnées à la patrouille, ou à la lutte anti-sous-marine.
Donc, désormais les patrouilleurs français sont en jeu, réservés aux testeurs et à ceux qui auront raqué pour y accéder en avance ; on trouvera une succession de vedettes lance-torpilles et plusieurs chasseurs de submersibles, et enfin quelques torpilleurs légers comme la Combattante, l'Arras, le Mogador ou la Surprise. Ils seront en accès libre au prochain patch.
Sept cartes terrestres existantes ont subi des modifications plus ou moins lourde, comme des destruction de ponts, des remplacement de végétation, quelques modifications de topographie afin d'équilibrer les cartes et d'éliminer quelques points connus pour servir à spawnkill l'équipe d'en face.
Une flopée de nouvelles machines rejoignent le jeu, essentiellement contemporaines. Citons entre autres le F-111C et F « Aardvark », redoutable bombardier propulsé par des moteurs américains et bardé de missiles à longue portée.
Les Soviétiques recoivent quand à eux le Sukhoï 24M, célèbre bombardier rouge conçu pour frapper la flotte américaine du Pacifique.
Côté chars, on retrouve le Puma VJTF allemand, le char de DCA léger Stormer AD britannique, le Tiran 6 israëlien ou l'Antelope chinois, et quelques autres. L'arbre français, et en l'occurrence sa variante néerlandaise, obtient le char léger d'escadron CV9035NL, déblocable donc en escadron et qui est à la fois mobile et armé d'un excellent canon de 35 mm.
Enfin, côté maritime, en dehors des vedettes françaises, c'est l'heure des poids lourds : la Marine Impériale Japonaise est dotée de l'IJN Amagi et de ses dix canons de 410 millimètres, la marine impériale du cuirassé Izmaïl, les Allemands du SMS Derfflinger, et les Américains de l'USS Tennessee, vétéran de la guerre du Pacifique qui reçut quelques bombes à Pearl Harbor, ce qui ne l'empêcha pas d'être remis à flot, modernisé, doté d'une DCA renforcée et d'aller combattre de Tarawa à Peleliu, et même d'ajouter le Yamashiro à son tableau de chasse en octobre 1944 au golfe de Leyte.
Désormais, une minicarte navale s'affiche lorsque vous pilotez un hydravion lancé à partir d'un bateau, pratique pour s'y retrouver. De plus, un marqueur d'actualisation de la conduite de tir a été ajouté en Arcade pour les véhicules terrestres. Plusieurs camouflages ont été modifiés, plusieurs autres ont été ajoutés notamment pour les véhicules italiens et sud-africains ; enfin les succès et les décalcomanies allant avec sont exclusivement recherchables avec les véhicules de l'arbre national correspondant. Concrètement, cela veut dire qu'il n'est enfin plus possible de débloquer toutes les décalcomanies américaines en ne jouant que l'exemplaire du P-47-D disponible en premium dans l'arbre allemand (en référence à un avion capturé par ces derniers).
Customisation bien agréable, il est désormais possible de personnaliser ses propres optiques pour les blindés, en modifiant certains réticules, leur couleur ou leur taille à volonté :
Enfin, une très longue liste de bugs ont été corrigés, ainsi qu'une non moins longue liste d'ajouts mineurs, comme des projectiles manquant sur certaines machines), ou de modifications de modèles 3D, toutes armes confondues ; pour le détail précis, on se reportera à la liste publiée sur le site.