Skull & Bones parle négoce et gros canons

Thématique
Piraterie
12 septembre
2022

La date de la sortie de Skull & Bones se rapproche, et l'éditeur français continue de communiquer sur son simulateur de flibuste : ce weekend, lors de la conférence « Ubisoft Forward », les développeurs se sont attardés sur la personnalisation et la contrebande en jeu.

Il est précisé qu'à un certain niveau d'infamie, le système de réputation en jeu, vous débloquerez l'accès à votre propre base pirate, la Timonerie. Entre autres services, la Timonerie vous permettra non seulement de ravitailler votre navire mais aussi de fabriquer directement certaines marchandises, comme le rhum et l'opium, très demandées en Europe, et que vous pourrez donc revendre à prix d'or, sans devoir vous contenter des cargaisons prises à l'abordage des navires marchands.

Question personnalisation, il est question de prendre en compte la puissance de feu, la manœuvrabilité, la vitesse, la capacité d'emport ou la résistance des navires. On cite le sambouk, accessible tôt dans le jeu et qui mise sur la puissance de feu brute, ou le brick, qui « peut infliger des dégâts encore plus importants lorsqu'il a jeté l'ancre » et non, je ne vois pas non plus ce que jeter l'ancre ou pas peut bien changer, mais les développeurs ont l'air de savoir ce qu'ils font.

Skull & Bones

On cite ensuite les boulets perforants permettant de transpercer le bardage épais des navires, ou des boulets chauffés à blanc avant le tir, permettant de déclencher des incendies dévastateurs, ou les classiques boulets chaînés permettant de faire démâter un trois-mâts, une situation dramatique car cela le condamne à l'immobilité.

Les canonniers dans l'âme seront ravis : le studio promet un arsenal visiblement varié, avec canons, balistes, mortiers, lance-roquette et même torpilles, sachant que chaque arme possèdera un contre : vous pouvez vous prémunir des dégâts enflammés en recouvrant votre bateau de protections en cuir, difficiles à incendier, ou protéger plus spécifiquement la mâture de votre bateau.

Des promesses, toujours des promesses... on attend début novembre pour voir ce qu'il en sera.